Valérie Provost termine actuellement sa maîtrise en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal sous la direction de Martine Delvaux. Dans son mémoire, elle étudie la liminalité dans l’écriture d’Anne Garréta, autant du point de vue de la narration que de la langue, ce qui traduit son intérêt pour les jeux formels en littérature. C’est d’ailleurs dans cette veine qu’elle souhaite inscrire sa propre pratique d’écriture, à laquelle elle travaille plus sérieusement depuis sa première publication dans la revue Zinc.