Hélène Taillefer vient de compléter une maîtrise en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal, pour laquelle elle a reçu une bourse du CRSH. Son mémoire, sous la direction de Jean-François Chassay, se penche sur l’intelligence artificielle comme figure de la dystopie dans des romans de George Orwell, de Samuel Beckett et de William Gibson. Membre du comité de rédaction de la revue Postures depuis deux ans, elle a également assuré en 2007 la coordination d’un colloque portant sur l’oeuvre de Michel Houellebecq.