Après avoir complété un baccalauréat en études littéraires à l’UQAM, Marie-Ève Richard y poursuit une maîtrise en études littéraires sous la direction d’Anne Élaine Cliche. Son mémoire, qu’elle rédige actuellement, porte sur la « cohérence sensible » de la pensée analogique chez Annie Le Brun, une philosophe et poète surréaliste, dans les essais Les châteaux de la subversion et Si rien avait une forme, ce serait cela. En lien avec la psychanalyse, ses recherches se penchent sur le fonctionnement de la pensée : son surgissement et sa mise en forme, poétique en l’occurrence. Elle a contribué dernièrement au carnet de recherche sur l’Imaginaire de l’écrit dans le roman, pour l’Observatoire de l’imaginaire contemporain (OIC), avec un article qui s’intitule « L’arbre de la “raison graphique” dans Bouvard et Pécuchet de Flaubert ».