Marie-Christine Lambert-Perreault effectue un doctorat en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal. Elle a déposé en 2008 un mémoire de maîtrise intitulé La mélancolie comme structure infralangagière de l’oeuvre d’Amélie Nothomb. Boursière du CRSH, membre étudiante du CELAT à l’Université du Québec à Montréal, elle s’intéresse dans sa thèse à la transmission transgénérationnelle et transculturelle dans les oeuvres de Ying Chen, Linda Lê et Aki Shimazaki. Elle fait partie du comité de rédaction de la revue Postures, a publié un récit bref dans Moebius et co-organise actuellement un colloque international sur la mobilité culturelle prévu pour l’automne 2010.